Haut-Uele : Arrestation du journaliste Dieu Merci Betima, un coup porté à la démocratie prônée par le Président Tshisekedi, dénonce MHUMAP

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Haut-Uele : Arrestation du journaliste Dieu Merci Betima, un coup porté à la démocratie prônée par le Président Tshisekedi, dénonce MHUMAP

Alors que le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, œuvre pour la paix, l’unité et la cohésion nationale, certaines autorités

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Alors que le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, œuvre pour la paix, l’unité et la cohésion nationale, certaines autorités sapent ces efforts en bafouant la liberté d’expression et en muselant la presse.

C’est notamment le cas du journaliste Dieu Merci Betima, de la radio Nava à Isiro, arrêté et détenu arbitrairement depuis le lundi 3 mars 2025. Pourtant, il n’a fait qu’exercer son métier avec professionnalisme, dans le strict respect de l’éthique et de la déontologie journalistique.

Face à cette atteinte grave à la liberté de la presse, le Mouvement Citoyen « Haut-Uele Ma Province » (MHUMAP) hausse le ton et exige sa libération immédiate et inconditionnelle.

« Nous avons besoin de paix en cette période de crise sécuritaire. Unissons-nous derrière le Chef de l’État et les autorités locales engagées pour le retour de la paix dans notre pays. Ces arrestations arbitraires doivent cesser, car la presse joue un rôle clé dans une démocratie où la liberté d’expression est garantie par la loi.»

D’un ton ferme, le mouvement interpelle les autorités et dénonce les dérives du pouvoir :

« Nous exigeons sans délai la libération de ce journaliste, dont le seul tort a été de faire son travail. Nous appelons également l’Assemblée provinciale à exercer un contrôle rigoureux sur cette administration, qui continue de faire l’objet d’alertes sur le détournement des fonds publics. La population souffre sous le poids des taxes, et au lieu de réprimer les lanceurs d’alerte, il serait plus judicieux de s’attaquer aux véritables problèmes. »

Le mouvement conclut avec une déclaration sans appel :

« Pas de liberté de presse, ni de démocratie sans la libération de Dieu Merci Betima ! »

La Rédaction

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