Kisangani/FRIVAO : Gestion transparente et efficace sous la coordination de Chançard Bolukola, une référence managériale pour la jeunesse et une solution pour une indemnisation réussie (Tribune de Zacharie Kingombe)

Le doctorant Zacharie Kingombe, activiste clé de la société civile, sort de son silence pour analyser la gestion de l’équipe dirigeante actuelle du Fonds spécial de réparation des victimes des activités illicites de l’Ouganda en République démocratique du Congo (FRIVAO), quelques six mois après son avènement sous la direction de Chançard Bolukola Osony.

Dès l’introduction, il rappelle que les institutions publiques ont pour mission première de répondre aux attentes légitimes des citoyens et d’assurer une gestion efficace des ressources de l’État. Pourtant, il est rare de voir des établissements publics fonctionner avec la rigueur et la transparence requises pour garantir un service optimal à la population. C’est dans ce contexte que la Coordination du FRIVAO, dirigée par Chançard Bolukola, se distingue en imposant un nouveau standard de gouvernance publique.

Lorsque le ministre d’État, ministre de la Justice, Constant Mutamba, a porté son choix sur une équipe jeune pour piloter le FRIVAO, de nombreux observateurs étaient sceptiques. Pourtant, en l’espace de quelques mois seulement, Chançard Bolukola et son équipe ont prouvé que la compétence et l’engagement ne sont pas une question d’âge, mais de vision et de rigueur managériale.

Dès sa prise de fonction, la Coordination a mis en place plusieurs réformes ayant un impact immédiat :

1/Transparence et rigueur dans le processus d’indemnisation : Près de 9 000 victimes ont déjà été indemnisées, un chiffre impressionnant compte tenu des ressources limitées.

2/Mise en place d’une stricte méritocratie : Le recrutement au sein de la Coordination repose désormais uniquement sur les compétences, et non sur des critères d’affinité.

3/Renforcement des commissions de certification : Une initiative qui a permis d’intégrer des membres de la société civile au processus, garantissant ainsi plus d’équité et de crédibilité.

Selon Zacharie Kingombe, loin des critiques faciles et des préjugés sur la jeunesse, la Coordination actuelle du FRIVAO a réussi là où d’autres ont échoué.

« Loin d’être une simple structure administrative, elle est devenue un modèle de gestion moderne et efficace, redonnant confiance aux victimes et démontrant que l’État peut, lorsqu’il s’appuie sur les bonnes personnes, tenir ses engagements. Aujourd’hui, la société civile, les bénéficiaires et même certains détracteurs d’hier reconnaissent l’excellent travail accompli. »

Par ailleurs, Zacharie Kingombe souligne que de nombreuses voix s’élèvent pour appeler à la confirmation officielle de cette Coordination par le Président de la République. Cette reconnaissance assurerait la continuité des réformes engagées et garantirait la pérennisation des avancées réalisées.

« Au-delà du cas spécifique du FRIVAO, l’histoire de cette Coordination est une source d’inspiration pour toute une génération. Elle prouve qu’avec de la rigueur, du sérieux et une volonté de bien faire, les jeunes peuvent être des acteurs majeurs du changement. »

En attendant la signature de l’ordonnance présidentielle confirmant officiellement cette équipe, une chose est certaine : Chançard Bolukola et ses compagnons ont déjà remporté une bataille, celle de l’exemplarité et de l’efficacité. Leur travail doit servir de référence pour d’autres institutions publiques en quête de résultats concrets et durables, a-t-il conclu.

La Rédaction
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