La coordination provinciale de la Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC) dans la province de la Tshopo exprime sa satisfaction quant à la promptitu
La coordination provinciale de la Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC) dans la province de la Tshopo exprime sa satisfaction quant à la promptitude et à la transparence du comité de gestion du Fonds spécial de réparation des victimes des activités illicites de l’Ouganda en République Démocratique du Congo (FRIVAO), dirigé par Chançard Bolukola, qui conduit à bon port le processus d’indemnisation des victimes de la guerre de six jours à Kisangani.
Cette structure citoyenne salue particulièrement le communiqué officiel n°007 du 26 mars 2025, dans lequel le FRIVAO met en garde toute personne ou organisation procédant à un enregistrement illégal des victimes dans le territoire de Banalia, sans autorisation officielle. Ce rappel fait suite aux dénonciations des organisations de la société civile locale, alertant sur des pratiques frauduleuses susceptibles de compromettre l’objectif du fonds.
Le coordonnateur provincial de la NSCC/Tshopo, Ir. Djey Amisi, a une fois de plus salué la rigueur et la transparence du comité dirigé par Chançard Bolukola, qui a réaffirmé le caractère gratuit du processus d’enregistrement et d’indemnisation des victimes. Il a également condamné toute tentative d’escroquerie orchestrée par des individus ou des associations non reconnues.
« Nous félicitons les organisations de la société civile de Banalia, en particulier la coordination locale de la Nouvelle Société Civile Congolaise, pour leur engagement à dénoncer ces pratiques inhumaines. Nous saluons également le travail du comité de gestion du FRIVAO, qui poursuit ses efforts avec sérieux et détermination.», a déclaré l’Ir. Djey Amisi, Coordonnateur de la
NSCC/Tshopo.
La coordination du FRIVAO, sous la direction de Chançard Bolukola, continue de garantir que l’indemnisation des victimes des activités illicites de l’Ouganda en RDC se déroule dans le respect des procédures établies. Grâce à des mesures de contrôle strictes et à une collaboration étroite avec les organisations de la société civile, le fonds espère éviter toute tentative d’abus et assurer une réparation juste et transparente aux victimes concernées.
En attendant l’intensification du processus d’indemnisation dans les autres régions touchées par la guerre de six jours, la NSCC/Tshopo invite la population à la vigilance. Elle rappelle que l’enregistrement et l’indemnisation sont totalement gratuits et qu’aucune victime ne doit verser de l’argent pour accéder à ses droits. Toute tentative de fraude doit être immédiatement signalée aux autorités compétentes.
La Rédaction
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