L'ONG > par l'entremise de son président du conseil d'administration, Me Alain PONDE LIKUNDU attire l’attention de la Communauté Nationale et Internat
L’ONG << Amis de la Nature pour la Paix Sociale >> par l’entremise de son président du conseil d’administration, Me Alain PONDE LIKUNDU attire l’attention de la Communauté Nationale et Internationale sur le mauvais jeu et les sales pratiques de certaines ONG internationales spécialement CORNER HOUSE basée au Royaume Uni, FIAN basée en Belgique, FIAN basée en Allemagne, Global Legal Action Network, GRAIN ; Institute of Sustainable Agriculture(ISA) – Libéria , Jogbar United Women Empowerment and Development Organization (JUWEDO) – Libéria, Milieu defense – Pays Bas, Oakland Institute – Etats-Unis, Rettet den Regenwald – Allemagne , RIAO-RDC – RD CONGO, Struggle to Economize Future Environment (SEFEà- Cameroun, Syndicat des Paysans riverains de la Socapalm (Synaparcam)- Cameroun, World Rainforest Movement, CNCD-11.11.11, Entraide et Fraternité, Milieudefensie, qui se sont spécialisées depuis des années dans l’utilisation abusive et détournée des voix des communautés locales de Lokutu dans le territoire de Basoko en province de la Tshopo, et de Boteka, territoire de INGENDE dans la province de l’Équateur, en République Démocratique du Congo, sans leur consentement.
<< Ces Organisations Nationales et Internationales se permettent de publier des messages et opinions au nom des communautés locales précitées qui ignorent même jusqu’à l’existence de la quasi-totalité de ces organisations et qui se permettent pourtant d’agir en leur nom sans jamais en avoir eu le mandat.
Ce constat met en lumière des pratiques qui s’apparentent à l’exploitation de ces communautés locales comme fonds de commerce >>, alerte ONG
<< Amis de la Nature pour la Paix Sociale >>.
L’ONG » Amis de la Nature pour la Paix Sociale » renseigne avoir d’ailleurs des preuves que certaines de ces ONGs reçoivent de l’argent dans le cadre de ces publications sans en rétrocéder un centime aux communautés.
» Ces ONGs prétendent œuvrer pour la paix et le développement des communautés avec lesquelles elles ne sont pratiquement jamais directement rentrées en contact » regrette-t-elle.
Ces dernières se permettent de publier des attaques en leur nom, portant ainsi préjudice à la paix sociale de ces zones et impactant négativement leur développement économique et celui du pays tout entier, car, selon elle effraie même les investisseurs potentiels.
Elles se permettent même de demander la suspension d’un mécanisme de négociations pour lequel les dignes représentants des communautés concernées ont travaillé pendant près de cinq ans.
Toutefois, l’ONG » Amis de la Nature pour la Paix Sociale » précise qu’avoir mené des investigations auprès de la Division de Justice et Garde des Sceaux de la Province de la Tshopo, il s’avère qu’aucune de ces organisations n’est enregistrée ou ne bénéficie d’une autorisation de fonctionnement dans la Province de la Tshopo, à l’exception de l’ONG RIAO qui est enregistrée, mais ne possède aucun cadre de concertation avec les communautés locales, ni un mandat officiel de représentation ou assistance des communautés locales tant sur le plan national que sur le plan international.
Dans cet ordre d’idée, elle souligne qu’aucun mécanisme de redevabilité n’est mis en place afin de rendre compte aux communautés locales, au contraire ; ces organisations deviennent des vecteurs de conflits afin de provoquer l’instabilité d’une région déjà fragilisée par des conflits internes en s’illustrant avec ces pratiques de chantages et de plaintes infondées.
*Arrêt de cette hémorragie*
Pour éradiquer l’impunité liée à ces pratiques, cette ONG sollicite l’aide des autorités congolaises afin d’agir fermement à l’encontre de ces organisations qui nuisent à la Nation.
Tenant compte de sa mission citoyenne face à ces dérives des organisations mercantilistes et la nécessité de prendre les mesures de sauvegarde en faveur des communautés locales et leurs parties prenantes, l’ONG Amis de la Nature pour la Paix Sociale déclenche le mécanisme d’alerte afin de permettre à toutes les parties de mener les actions responsables pour éradiquer ces pratiques illicites pour mettre fin à cette impunité, restaurer les droits des communautés locales et reconstruire un environnement de dialogue sociale afin d’obtenir un climat de développement harmonieux.
Rédaction
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