Bas-Uélé : Après l’axe Buta-Telé, le Gouverneur Mike-David Mokeni intensifie la réhabilitation des routes sur l’axe stratégique Buta-Isiro

Le Gouverneur de la province du Bas-Uélé, Mike-David Mokeni, redouble d’efforts pour relier sa province avec les provinces soeurs de la Tshopo et du Haut-Uélé, grâce à un réseau routier modernisé.

Après avoir déclenché des travaux de réhabilitation de grande envergure sur la route Buta-Telé, dont le taux d’exécution est estimé à 96 %, l’Autorité provinciale passe désormais à la vitesse supérieure afin de remettre en état la route stratégique Buta-Isiro.

D’après Gustave Ekambo, Chargé de communication du Gouverneur Mokeni, les travaux avancent à grands pas sur le tronçon Isiro-Poko avec déjà 83 kilomètres réhabilités à ce jour, et cela à la satisfaction générale de la population.

« Ces efforts de son excellence monsieur le Gouverneur de province visent à désenclaver cette région, favoriser les échanges commerciaux et améliorer la mobilité des populations locales.», a-t-il dit.

Selon lui, cette volonté manifeste de l’Autorité provinciale s’inscrit dans le cadre de la vision du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, qui fait des infrastructures un pilier essentiel du développement de la République démocratique du Congo.

A l’en croire, les populations saluent ces travaux comme une réponse concrète à leurs besoins, exprimant l’espoir d’un avenir meilleur grâce à des infrastructures solides.

Toutefois, il a laissé entendre qu’avec une telle détermination et un suivi rigoureux, le Gouverneur Mike-David Mokeni montre la voie d’une gouvernance axée sur les résultats et le développement durable.

Il y a lieu de signaler ici que les prochains mois s’annoncent très prometteur pour la finalisation des travaux et le lancement de nouveaux projets, confirmant ainsi l’engagement du Chef de l’exécutif provincial à transformer les infrastructures routières en levier de croissance économique pour toute la province du Bas-Uélé. La réhabilitation de cette route permet non seulement aux producteurs agricoles d’acheter leurs récoltes vers des marchés plus grands, améliorant leurs revenus et réduisant les pertes dues à l’enclavement, mais facilite également le commerce avec les provinces voisines et potentiellement avec les pays frontaliers, contribuant au développement économique global.

La Rédaction
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