Tshopo: Trois mois sans gouvernement, la NDSC sort de son silence et invite l’assemblée provinciale à l’évaluation

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Tshopo: Trois mois sans gouvernement, la NDSC sort de son silence et invite l’assemblée provinciale à l’évaluation

La province de la Tshopo demeure encore jusqu'à ce jour sans un gouvernement provincial, alors que ça fait pratiquement 3 mois depuis que l’actuel gou

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La province de la Tshopo demeure encore jusqu’à ce jour sans un gouvernement provincial, alors que ça fait pratiquement 3 mois depuis que l’actuel gouverneur de province Paulin Lendongolia Lebabonga a été investi.

Face à cette situation, la nouvelle dynamique de la société civile(NDSCI) sort de son silence.

Dans une correspondance du 20 septembre 2024 dernier adressée au président de l’assemblée provinciale de la Tshopo consultée par votre média ce lundi courant, cette structure citoyenne de proximité, de lutte contre les antivaleurs invite les élus provinciaux au sens profond de recevabilité afin de soumettre le gouverneur de province Paulin Lendongolia Lebabonga à un contrôle rigoureux de la gestion de la province pendant les 3 mois à dater de son investiture.

Cette évaluation, précise le président de la NDSCI, Me Christian Kambi permettra aux députés provinciaux d’apprécier s’il faudra investir ou non le gouvernement provincial dont la sortie intervient incessamment.

Pour y parvenir, la NDSCI propose la mise en place d’une commission parlementaire spéciale chargée de contrôler aussi spécialement la gestion de la province en cette période où il n’existe pas encore le gouvernement provincial pour apprécier sa performance.
Aussi, dit-elle, permettra à l’organe déliberant de comparer la période près sortie et post sortie du gouvernement qui se cristalliser par son investiture.

La NDSCI regrette par ailleurs, le temps perdu dans la mise en place d’une équipe gouvernementale alors que la province fait face aux multiples problèmes auxquels dont notamment l’épineuse problématique de l’insécurité.

Ainsi, elle attire l’attention des élus provinciaux en ce sens que le sérieux d’un gouvernement dépend de la qualité du travail de l’assemblée provinciale.

La NDSCI rappelle en outre que, le premier citoyen de la Tshopo avait promis d’améliorer avant toutes choses les conditions de travail des futurs ministres provinciaux en équipant leurs cabinets des matériels informatiques, véhicules et autres mais malheureusement rien n’est encore concret jusque-là.

JULEP/Lumière News

La Rédaction
+243850710634

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