Après avoir épaté plus d'un observateur depuis qu'il est arrivé à la tête de l'Institut du bâtiment et travaux publics (IBTP/Kisangani) comme directeu
Après avoir épaté plus d’un observateur depuis qu’il est arrivé à la tête de l’Institut du bâtiment et travaux publics (IBTP/Kisangani) comme directeur général, notamment par son esprit d’initiative en rénovant cette Almer mater de manière rocambolesque, le professeur Sylvain Alongo devient aujourd’hui un atout et une meilleure opportunité pour le développement de la province de la Tshopo, à cause de son esprit managerial et son leadership qui se caractérise par une bonne gouvernance.
C’est au cours d’un point de presse organisé le vendredi 23 Février 2024, en sa résidence située sans la commune Makiso que, le directeur général de l’IBTP/Kisangani a indiqué officiellement devant les chevaliers de la plume invités, les raisons qui motivent aujourd’hui sa décision de postuler comme candidat gouverneur de la Tshopo. Ceci après avoir refoulé dans le passé plusieurs offres des nombreuses personnes qui les poussait à postuler au regard de son expertise.
D’après lui, tout commence avec la matérialisation de la vision du chef de l’Etat Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo au niveau de l’IBTP en ce qui concerne la modernisation des infrastructures, où il a reçu les visites des différents acteurs de la ville en commençant par les chefs de quartier jusqu’à la présidence lui posaient toujours la question suivante : Où avez-vous trouvé le financement pour pour rénover l’IBPT ? Et sa réponse qui leur donnait était qu’il a utilisé les frais payés par les étudiants. Et tout le monde me disait que si ce que je parlais était vrai, donc j’étais l’homme qui est appelé pour les grandes responsabilités dans cette province qui tâtonne sur son décollage un jour.
« J’ai fait l’objet des nombreuses consultations. Les uns voulaient que je sois députés pour parler pour la cause de la Tshopo, j’ai décliné l’offre. Les autres sont venus me voir pour que je sois sénateur et moi-même je me suis posé la question qui suis-je pour que je sois bénéficiaire de ces nombreuses consultations ? Tout simplement parce que j’ai montré ce modèle de gouvernance à la tête de l’IBTP. Du coup, je me suis dit je dois réfléchir pour que je puisse prendre une décision réelle. En réfléchissant, je vite dis qu’il est temps que je prenne les responsabilités », a déclaré le professeur Sylvain Alongo en motivation de sa candidature.
[Pourquoi quitter l’IBTP pour la politique ?]
Le directeur général de l’IBTP a fait savoir qu’il n’a pas choisi ce moment précis pour se lancer dans la course au gouvernorat et cela ne va pas plonger l’IBTP dans le chaos parce que le niveau d’investissement réalisé avec son avènement, il aura un œil particulier sur cette institution une fois elu gouverneur.
[Un candidat gouverneur qui maîtrise les maux qui rongent la Tshopo]
Dans la foulée, le professeur Alongo n’a pas manqué de lire qu’il a un profil de celui qui connais la Tshopo. Et s’ils seront 20 candidats, il sera parmi les deux qui connaissent mieux la Tshopo en terme de 7 territoires du fait qu’il a eu à coordonner les projets de développement dans les 7 territoires depuis qu’il est rentré de l’étranger.
Il dit avoir suffisamment la plume pour sauter pour l’unique cause de sa province, car il n’a que comme province de la Tshopo.
[Une candidature est très convoitée dans les clubs politiques]
En étant un acteur de la société civile très engagée, le professeur Sylvain Alongo postule à cette élection comme un candidat indépendant avec comme colistier Jean-Claude Osondja. Malgré les multiples sollicitations des clubs politiques au sein de l’unionsacrée.
Signalons que, la candidature du DG Alongo fait des échos très positifs dans l’opinion publique a Kisangani non seulement à cause de ses prouesses à la tete de l’IBTP, mais aussi rapport à son carnet très riche tant au niveau national qu’à l’international.
Les nombreux observateurs attendent voir comment les députés provinciaux vont se comporter le jour du vote dans le choix du futur gouverneur. Est-ce que vont-ils saisir l’opportunité pour écrire une nouvelle page de l’histoire du décollage de la Tshopo, ou carrément ils vont suivre les mêmes traces de leurs prédécesseurs qui ont raté de marquer le rendez-vous avec l’histoire ?
JULEP/Lumière News
La Rédaction
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