Tshopo :  organisation à Kisangani d’un atelier de renforcement des capacités sur  « le développement d’une campagne de plaidoyer » en faveur du réseau des femmes de la Tshopo

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Tshopo : organisation à Kisangani d’un atelier de renforcement des capacités sur « le développement d’une campagne de plaidoyer » en faveur du réseau des femmes de la Tshopo

Le centre Carter en collaboration avec l'ONG Congo en image organise un atelier de renforcement des capacités en faveur du réseau des femmes de la Tsh

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Le centre Carter en collaboration avec l’ONG Congo en image organise un atelier de renforcement des capacités en faveur du réseau des femmes de la Tshopo sur « le développement d’une campagne de plaidoyer. » Cette activité se déroule dans la salle Gradi jeunes du 26 au 31 Mars 2022 prochain, grâce au financement du Canada.

Mme Marie-Josephine Ntshaykolo, coordonnatrice du programme « voix et leadership des femmes en RDC » et l’oratrice principale de cette activité venue de Kinshasa a expliqué que, l’objectif de ces assises est de renforcer les connaissances des femmes membres du réseau des femmes de la Tshopo sur les stratégies de mise en oeuvre d’une action de campagne de plaidoyer, c’est-à-dire, amener les femmes de la Tshopo à mener ensemble des actions de plaidoyers efficaces.

« On a vu avec elles comment identifier le vrai problème des plaidoyers, comment élaborer ou développer un objectif, comment identifier les cibles ou la personne capable de répondre à l’action de plaidoyer, comment aussi développer les stratégies de plaidoyer et évaluer les risques », a explicité la coordonnatrice Marie-Josephine, avant d’ajouter que l’objectif est aussi de faire bouder les choses avec la participation des femmes mais aussi mettre fin aux US et coutumes rétrogrades.

Dans cet ordre d’idée, elle dit saluer jusque-là l’engagement des femmes de la Tshopo.
« J’ai rencontré des femmes capables qui veulent qu’il y ait changement, des femmes capables qui ont besoin juste d’être boostées, bien équipées pour faire avancer des grandes choses. J’ai vraiment aimé cet engagement et cette prédisposition de la femme de la Tshopo d’aller de l’avant, de contribuer positivement pour le développement de leur pays » ; s’est félicité l’oratrice.

A cette troisième journée, a-t-on remarqué, des travaux ont été organisés en groupe suivi de la présentation des résultats.

Signalons qu’une quarantaine des femmes issues des partis politiques, des ONG et de la société civile prennent part à ces assises.

La Rédaction
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