Tshopo : 300 élèves de l’Athénée royale de Kisangani touchés par la campagne de sensibilisation et monitoring sur le VBG

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Tshopo : 300 élèves de l’Athénée royale de Kisangani touchés par la campagne de sensibilisation et monitoring sur le VBG

Trois cents élèves de l'Athénée royale de Kisangani ont été sensibilisés mercredi 20 mars dernier sur les violences brasées sur le genre. C'était au c

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Trois cents élèves de l’Athénée royale de Kisangani ont été sensibilisés mercredi 20 mars dernier sur les violences brasées sur le genre. C’était au cours d’une séance de monitoring sur les violations des droits des enfants à besoins spéciaux en milieu scolaire et familial contre les VBG organisée par l’ONG Action des Femmes pour la Protection et la Défense des Vulnérables (AFPDV), dans le cadre du projet innovant Voix et Leadership des Femmes (VLF), mis en œuvre par le Centre Carter, financé par les Affaires mondiales Canada.

Il était question au cours de ces assises, d’expliquer aux participants les différentes sortes de violences faites à l’égard des femmes, des jeunes filles et des enfants en République Domocratique du Congo à savoir notament le viol, le mariage forcé, les violences psychologiques, physiques et autres.

Me Bénédicte Makusi, coordonnatrice de l’ONG AFPDV a par ailleurs, demandé aux participants de dénoncer toute forme de violences dont ils sont victimes.

« Il faut toujours dénoncer les cas de violences en vue d’avoir une assistance à tous les niveaux notamment assistance juridique, sanitaire et Psychologique » a-t-elle précisé.

Et d’ajouter :

« Les enfants, les adolescentes et les femmes de différents groupes ethniques et classes sociales souffrent de différentes formes de discrimination et des violences basées sur le Genre. Les inégalités du genre, le manque de pouvoir de décision ainsi que la situation économique et l’accès à l’éducation des filles et femmes, les rendent plus vulnérables face aux violences basées sur le Genre ».

À l’en croire, dans la province de la Tshopo, ce phénomène existe également et cela s’est aggravé depuis l’avènement du conflit interethnique entre les communautés Lengola Beda et les Mbole depuis l’année 2023 et qui perdure encore. Ce sont des enfants qui en souffrent face aux différents types de VBG, ajoute-t-elle.

Blaise Mussa/Lumière News

La Rédaction
+243850710634

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