Le Directeur Général de l'Institut de Bâtiment et des Travaux Publics (IBTP Kisangani), le professeur docteur ingénieur Sylvain Alongo Longomba, expri
Le Directeur Général de l’Institut de Bâtiment et des Travaux Publics (IBTP Kisangani), le professeur docteur ingénieur Sylvain Alongo Longomba, exprime sa profonde gratitude envers le Secrétaire Général de l’Enseignement Supérieur et Universitaire de la République Démocratique du Congo pour avoir débloqué le dossier des numéros matricules de certains agents non matriculés de son établissement.
Cette avancée significative est le fruit d’un lobbying payant et constant mené par lui auprès des autorités nationales, principalement auprès du Secrétaire Général de l’ESU.
« Je tiens à remercier sincèrement le Secrétaire Général pour son écoute et sa réactivité. Grâce à son intervention, plusieurs agents de notre établissement disposent désormais de numéros matricules, une étape essentielle qui va déboucher sur leur budgétisation », déclare-t-il.
Cette mécanisation marque une étape importante dans le processus de paiement des agents de l’IBTP Kisangani par l’État congolais, un combat que le professeur docteur ingénieur Sylvain Alongo mène depuis son arrivée à la tête de cet établissement.
« Nous travaillons depuis notre nomination comme Directeur Général de l’IBTP Kisangani pour améliorer les conditions sociales de nos collaborateurs. Nous remarquons que Son Excellence, Madame la Ministre de l’ESU Marie-Thérèse Sombo, et le Secrétaire Général de l’ESU partagent avec nous le même souci et travaillent pour matérialiser la vision de Son Excellence, Monsieur le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, centrée sur le peuple d’abord.
Cependant, nous avons encore du chemin à parcourir. Nous devons continuer à nous battre pour que tous les agents de l’IBTP Kisangani soient matriculés et budgétisés et que chacun touche à son salaire, » ajoute le numéro 1 de l’IBTP Kisangani.
Notons qu’il n’y a pas longtemps, plus de 100 agents de cet établissement venaient d’être budgétisés, toujours grâce au lobbying payant du DG Alongo.
La Rédaction
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