Le patriarche et notable émérite Marcel TABEI N’GBENGO est sorti de son silence en tirant la sortie d'alarme sur la montée inquiétante d’actes malveil
Le patriarche et notable émérite Marcel TABEI N’GBENGO est sorti de son silence en tirant la sortie d’alarme sur la montée inquiétante d’actes malveillants visant à saper l’autorité établie et à fragiliser la cohésion sociale au sein de la province du Bas-Uélé.
Dans une déclaration parvenue ce mardi à la rédaction de lumierenews.net, indique que dans un climat politique où la solidarité, le respect mutuel et l’engagement collectif devraient prévaloir, l’on assiste malheureusement à la prolifération de discours diffamatoires, de manipulations malintentionnées et d’attaques personnelles ciblant les élus tant nationaux que provinciaux, ainsi que le Gouverneur de province Mike-David Mokeni et les membres du gouvernement provincial. Une tendance jugée dangereuse, nuisible et contraire à l’éthique républicaine.
« Ces comportements alimentent une dynamique de division et d’instabilité. Ils relèvent d’une logique bien connue : diviser pour mieux régner », déplore le patriarche TABEI N’GBENGO. Selon lui, ces agissements ne traduisent en rien une volonté de critique constructive, mais plutôt une stratégie de sabotage, attentatoire au bon fonctionnement des institutions et contraire aux principes fondamentaux du service public.
Le notable s’indigne par ailleurs de la banalisation de l’insulte, de la calomnie et de la désinformation dans le discours politique local. Il cite notamment la sénatrice Carole Agito, qu’il qualifie de figure d’intégrité et de dévouement, aujourd’hui injustement prise pour cible malgré ses contributions notables à la province.
« Nos autorités méritent d’être critiquées, oui, mais dans le respect et avec des arguments fondés », insiste-t-il.
À l’endroit de la jeunesse, qu’il exhorte à la responsabilité et à la vigilance, Marcel TABEI N’GBENGO lance un message fort : « Refusez de devenir les instruments d’agendas obscurs. Privilégiez le dialogue, la vérité et l’intérêt commun. Les réseaux sociaux ne doivent pas être des plateformes de haine, mais des outils de construction. »
Il appelle enfin à une prise de conscience collective et à une union sacrée pour le développement du Bas-Uélé. « Il est temps que les femmes et les hommes politiques de notre province parlent d’une même voix, dans un esprit d’unité, de maturité et d’espoir partagé. C’est à ce prix que nous bâtirons un avenir à la hauteur des aspirations de nos populations. »
La Rédaction
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