Après une déclaration lue devant la presse, il y a quelques jours par les membres du bureau politique du MLC, fédération de la Tshopo 1, sollicitant l
Après une déclaration lue devant la presse, il y a quelques jours par les membres du bureau politique du MLC, fédération de la Tshopo 1, sollicitant la déchéance de Mme Elysée Basaki Yenga comme présidente fédérale a.i de ce parti politique à Jean-Pierre Bemba Gombo actuellement ministre national de la défense nationale, cette dernière qui, rejettant en bloc toutes les accusations de ceux qu’elle qualifie « des flatteurs et ennemis du parti qui sont jaloux de sa gestion orthodoxe », alerte les autorités hiérarchiques de son parti par rapport à sa vie qui est actuellement en danger.
Dans une interview accordée ce samedi 27 mai à Kisangani, Mme Elysée Basaki a expliqué à notre micro que « depuis que ce groupe des gens ont fait leur déclaration devant la presse avec comme objectif non seulement de me salir, mais aussi de ternir l’image du parti politique, alors qu’ils n’en ont pas mandat ni moins qualité et n’ont pas reçu mandat », elle dit recevoir des menaces des appels téléphoniques et messages de la part des inconnus.
« Je sollicite l’intervention de la hiérarchie du parti parce que ma vie est en danger du jour au jour. C’est par des appels téléphoniques, par des messages », alerte-t-elle.
Pour elle, la fait que sa boutique a été braquée par des bandits en main armés non autrement identifiés dans la nuit du jeudi 25 au vendredi 26 mai 2023, à 2 heures du matin, est une preuve éloquente des menaces dont elle subie depuis la déclaration politique des autres membres du bureau politique.
« Cet acte est une preuve éloquente par rapport à des menaces dont suis victime et toute ma famille. Parce que ma boutique ici c’est depuis 2016 que je suis dans cette contrée et je n’ai jamais reçu aucune menace », a-t-elle fait savoir.
Ces malfrats ont emporté des vestes, chaussures et autres articles, ainsi qu’une somme importante d’argent de M-pesa qui était dans son coffre.
« Je demande à ma hiérarchie de me protéger parce que ma vie est en danger car je sers le parti comme il se doit et les flatteurs ne veulent pas qu’on dénonce le mal pour que le parti puisse aller de l’avant », a-t-elle expliqué en substance, tout en sollicitant une intervention urgente de sa hiérarchie.
JULEP/Lumière News
La Rédaction
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