Dans la sphère politique dans la province de la Tshopo, la présence des femmes dans le poste de prise de décisions présente un tableau sombre. Bien qu
Dans la sphère politique dans la province de la Tshopo, la présence des femmes dans le poste de prise de décisions présente un tableau sombre. Bien que la participation des femmes dans les formations politiques dans la Tshopo soit élevée, moins d’entre-elles occupent des postes de responsabilité ou de prise de décisions.
Après un sondage réalisé par une reporter de lumiernews.net, sur une centaine de partis politiques opérant dans la Tshopo, moins de 10% de ces formations sont dirigées par le genre féminin. Cependant, dans la plupart de cas, les femmes occupent soit le poste de présidente de ligue de femmes ou responsable du protocole.
Malgré ce traitement, les femmes politiques que nous avons rencontrées sont déterminées à jouer les mêmes rôles que leurs collègues hommes car, se disent-elles avoir des capacités à gérer les partis politiques et à faire propulser les choses.
Toutefois, interrogés sur cette thématique, les responsables fédéraux des partis politiques œuvrant dans la Tshopo reconnaissent l’apport et la participation des femmes au sein de leurs formations politiques. Ces derniers affirment que le peu de femmes qui occupent certains postes de prise de décisions répondent favorablement à leurs responsabilités et sont à la hauteur de leurs fonctions.
Malgré le tableau sombre de la situation de la femme politique dans la Tshopo, le professeur Jean Pierre Lifoli de l’Université de Kisangani a, devant le micro de lumiernews.net, encouragé les jeunes femmes à s’engager activement à la politique pour quitter le stade actuel où elles occupent moins de postes de commandement.
Justine Aridi/Lumière News
La Rédaction
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