Dans le but d'assurer la transparence, la traçabilité et la gestion efficace des ressources naturelles en République Domocratique du Congo tout en ren
Dans le but d’assurer la transparence, la traçabilité et la gestion efficace des ressources naturelles en République Domocratique du Congo tout en renforçant la confiance des investisseurs et en protégeant les intérêts nationaux pendant des négociations commerciales, le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, a souligné l’importance d’établir le système de certification des réserves minières du pays.
Pour le Chef de l’État, ce système sera un instrument de lutte contre l’exploitation illégale, la corruption, et toute forme de gestion opaque des ressources minières ; mais aussi permettra d’assurer que chaque portion de carré minier attribuée et évaluée selon les normes internationales. Félix-Antoine Tshisekedi a également rappelé que les ressources minières appartiennent à la nation et aux générations futures. Leur gestion doit s’effectuer dans le respect des principes d’équité, de responsabilité et de durabilité.
La certification des réserves minières vise donc à garantir une exploitation bénéfique non seulement pour la génération actuelle, mais aussi pour celles à venir.
La concrétisation de ce projet, nécessite la collaboration entre le ministre des Mines, avec d’autres ministères et des experts sous la supervision de la première ministre, pour réaliser un rapport détaillé, accompagné d’une note technique et d’un calendrier précis pour sa mise en œuvre. Un rapport attendu au conseil des ministres dans les 30 jours, à demandé le Chef de l’État congolais.
Le cadre minier (CAMI), jouera un rôle central dans cette nouvelle démarche. Pour garantir le respect strict des critères d’attribution des carrières miniers et pour sanctionner fermement tout manquement, le Chef de le Président de la République a insisté sur la réforme des mécanismes de fonctionnement de cet organisme.
Le Président Félix-Antoine Tshisekedi, propose quelques pistes pour y arriver notamment l’introduction d’un appel d’offres obligatoire pour l’attribution des carrières miniers exploitables, afin d’assurer la transparence et la compétitivité, tout en favorisant la préférence nationale.
La Rédaction
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