Insécurité à la Tshopo : l’hon. Simon Masimango sollicite l’implication du Chef de l’État pour stopper la menace en territoire de Bafwasende

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Insécurité à la Tshopo : l’hon. Simon Masimango sollicite l’implication du Chef de l’État pour stopper la menace en territoire de Bafwasende

L'implication personnellement du président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, s'avère plus que nécessaire pour stopper la menace de

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L’implication personnellement du président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, s’avère plus que nécessaire pour stopper la menace des terroristes du M23 dont leur présence est signalée dans les secteurs Bakumu d’Angumo et Barumbi en territoire de Bafwasende dans la Tshopo (Nord -est de la République démocratique du Congo), où même un chef de secteur et un autre chef de groupement ont été installés.
C’est ce qu’a suggéré le député provincial élu de Bafwasende Simon Masimango dans une interview accordée vendredi à la presse.

Selon lui, il n’y a que l’implication personnellement de son excellence président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, artisan de la paix peut stopper la menace, avec la situation actuelle qui se passe dans le territoire de Bafwasende, où Il y a maintenant la présence des rebelles du M23 plus principalement dans les secteurs de bakumu d’Angumo et barumbi dans la région d’Opienge, frontière à la province sœur du Nord -Kivu.

« Ces rebelles conduits par le général autoproclamé Shokoro a commencé à mener des incursions en connivence avec le chef rebelle qui habite la localité dénommée la tshopo, située dans le secteur de bakumu d’Angumo, s’est permis de nommer et installer le chef de secteur de bakumu d’Angumo, une pratique reconnue au M23, en témoigne ce que ces rebelles ont fait à Kanyabayonga, dans la province du Nord-Kivu », a indiqué le député provincial Simon Masimango.

Cet élu de proximité estime que l’on doit tout faire pour rétablir le pouvoir de l’état dans l’axe opienge souvent incontrôlé ; pourtant il y a des troupes loyalistes qui contrôlent Bafwasende jusqu’au village balobe. Ces troupes, poursuit-il, sont en contact direct avec Shokoro,le général rebelle autoproclamé .

« Je ne sais pas s’il s’agit d’une complicité, parce que ces militaires acceptent que la population soit en danger à tout moment ! », s’est -il demandé, ajoutant que les conséquences de cette situation sont nombreuses :

« Nous avons appris que certaines écoles ont fermées leurs portes avant la fin de l’année scolaire,les villages entiers se sont vidés ».

Ensuite, il a demandé aux autorités militaires de procéder à la relève des militaires en poste dans ce coin où ils ont fait pour les uns plus de dix ans et se sont familiarisés avec la population.

Par ailleurs, le député provincial Simon Masimango actuellement en vacances parlementaire, se dit être dans l’impossibilité de rejoindre sa base pour aller faire la restitution de la session parlementaire de Mars et prendre les désidératas, à cause de cette insécurité.

Il sied de signaler que, la région minière d’Opienge dans le territoire de Bafwasende face depuis un moment à l’activisme des groupes armés.

JULEP/Lumière News

La Rédaction
+243850710634

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