La Synergie des syndicats des enseignants de la province éducationnelle Tshopo 2 (Selco, Syisoc, synieco, synecath, Sylad) en a décidé à l’unanimit
La Synergie des syndicats des enseignants de la province éducationnelle Tshopo 2
(Selco, Syisoc, synieco, synecath, Sylad) en a décidé à l’unanimité de durcir leur mouvement de grève jusqu’à obtenir la satisfaction à leurs revendications.
Cette décision a été prise dans une séance de restitution faite le week-end dernier à Isangi (Tshopo), dans le Nord-est du pays à l’intention des enseignants sur les travaux de la commission paritaire des assises de Bibwa entre le gouvernement, ban-syndical, renseigne une copie de leur déclaration parvenue mercredi à votre média.
« L’assemblée a décidé à l’unanimité la non reprise des cours jusqu’à la régularisation de leurs revendications. Ainsi, nous demandons aux parents de garder leurs enfants à la maison jusqu’à l’obtention de leur gain de cause», peut-on lire dans cette déclaration.
Au cours de cette restitution, les enseignants de la province éducationnelle Tshopo 2 ont apprécié le rapport de ces travaux surtout de ceux de sous commissions Santé, carrière et du statut particulier des enseignants.
Tout en acceptant le montant de cinquante mille francs congolais
(50.000FC) de la paie complémentaire et 40.000 FC de réajustement de prime de la gratuité du primaire, ces enseignants exigent le paiement d’urgence de salaire du mois d’Août.
Dans une interview accordée a lumiernews.net ce mercredi 18 septembre, l’intersyndical des enseignants de l’Epst Tshopo 2, Fredy Kirongozi fait savoir que les enseignants ne refusent pas de reprendre les cours mais il y a un problème qui handicape jusqu’à ce jour là rentrée scolaire.
« Il y a un moyen de déperdition de notre salaire. Jusque-là, on ne connaît pas à quel niveau se situe ce problème parce que nous à Kinshasa nous étions à IFOD qui les enseignants de la Tshopo 2.», a-t-il dit.
Intersyndicale
Et à lui de lâcher :
« À cause du jeu de ping pong, les enseignants de l’Epst Tshopo 2, ils ont décidé d’observer un mouvement de grève jusqu’à leurs revendications soient prises en compte.»
La Rédaction
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