Conduite par Me Ricky Ndembhe Lisangi, coordonnateur du conseil provincial de la jeunesse de Tshopo (CPJ), une délégation de cette structure des jeune
Conduite par Me Ricky Ndembhe Lisangi, coordonnateur du conseil provincial de la jeunesse de Tshopo (CPJ), une délégation de cette structure des jeunes de la Tshopo a été reçue en audience le vendredi 03 mars 2023 par le commissaire provincial de la police nationale congolaise (PNC) de la province de la Tshopo Patrick Sabiti dans son office de travail.
Il était question au cours de cette rencontre de présenter au patron de la police nationale congolaise la structure qui réunit les jeunes des différentes associations implantées dans la province de la Tshopo, et discuter sur le problème de l’insécurité qui prévaut ce dernier temps dans la ville de Kisangani.
Au cours de l’échange, Me Ricky Ndembhe Lisangi, président de cette structure souligné que cette audience est une occasion pour la jeunesse de la Tshopo d’exprimer au chef de la police dans la Tshopo sa volonté de coopérer avec les services de sécurité en général et la PNC en particulier. Ceci, dans le souci de lutter contre l’insécurité dans la ville de Kisangani et sur toute l’étendue de la province de la Tshopo.
Il a, en outre, remis au commissaire provincial quelques instruments juridiques qui regisent la jeunesse en République Démocratique du Congo ainsi que les résolutions de la première édition de la table ronde de la jeunesse tenue du 24 au 26 novembre 2022 à Kisangani.
De sont côté, le commissaire Patrick Sabiti Abdallah a promis sa franche collaboration avec la jeunesse tshopolaise avant d’inviter cette dernière à cette même collaboration.
« Nous avons changé l’approche, actuellement la PNC est devenue une police de proximité, c’est-à-dire une police qui reste à côté de la population » a-t-il précisé.
Quant aux présumés criminels arrêtés, le numéro un de la PNC dans la Tshopo a souligné que « Nous les arrêtons et nous les transférons en justice pour que celle-ci fasse son travail ». Toutefois, il déplore le manque des gens pouvant témoigner contre ces malfrats.
Blaise Mussa/Lumière News
La Rédaction
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