Plaidoyer pour la prise en compte des initiatives des femmes et celle de la gratuité de l’Enseignement de base dans la Tshopo

Me Esther Atilo Singa, mandataire du regroupement politique dénommé Alliance des Réformateurs pour un nouveau leadership et candidate député nationale dans la circonscription électorale de la ville de Kisangani a appelé le gouvernement à prendre en compte des initiatives des femmes et celle de la gratuité de l’éducation de base dans la Tshopo.

Me Esther Atilo Singa a, dans sa communication avec sa base dans la ville de Kisangani, le vendredi 28 juillet 2023, démontré à l’assistance venue de différents coins de la ville de Kisangani, que l’amélioration de conditions de vie des femmes et de la gratuité est une mission impliquant plusieurs partenaires.
« La collaboration et l’implication de plusieurs partenaires notamment la famille, l’enfant et l’école », a déclarée vendredi Me Esther Atilo Singa, au cours d’un entretien avec sa base.

Me Esther Atilo Singa a indiquée qu’il s’agit pour les autorités de permettre aux femmes de participer au processus de développement en les intégrant dans les secteurs de la vie professionnelle. Elle a par ailleurs ajouté qu’il est souhaitable que les gouvernants donnent à celle-ci la possibilité d’accéder dans plusieurs secteurs de développements soit individuellement, soit collectivement.

En matière de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, Mme le leader du regroupement politique Alliance des Réformateurs pour un nouveau leadership qui, au nom de son autorité morale Jacques Kangudia Mutalbay conseiller du chef de l’État Félix Antoine Tshisekendi dans la Tshopo, a applaudi de deux mains toutes les initiatives du Chef de l’État dans le secteur de l’éducation ; a remerciée le Président de la République pour avoir fait de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique son cheval de bataille et surtout pour la gratuité de l’Enseignement de base qui a assurément soulagé le calvaire des parents.

Elle n’a pas manqué à démontrer les multiples efforts consentis en vue de construire un système éducatif inclusif et de qualité contribuant effectivement au développement national conformément à la vision de la stratégie sectorielle de l’éducation, car les enfants nous serviront dans un futur proche la main d’œuvre locale afin de participer aux efforts à fournir pour développer le pays.

« Le développement de notre pays doit passer par la prise en compte des initiatives des femmes leaders et par l’éducation de nos enfants ; car éduquer une femme, c’est éduquer toute une nation, y compris l’éducation de nos enfants », a-t-elle renchéri.

Armand Kitoko/Lumière News

La Rédaction
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